Et je préfère nettement le terme "cachés"
L’Hyperborée est une contrée mentionnée durant l’antiquité grecque tient
son nom de ces habitants. En effet, hyperboréens signifie tout
simplement ceux qui viennent d’au-delà de Borée (soit : où le souffle de
Borée n’atteint pas).
On trouve l’Hyperborée mentionnée par
Hésiode et dans certains récits, tel celui d’Apollon, lorsqu’il s’y
arrête avant de parvenir à Delphes. Le dieu y passerait tous les hivers
pour profiter de son climat toujours ensoleillé. D’ailleurs, sa mère
Leto serait hyperboréenne. Les héros Héraclès, Persée et Thésée s’y
seraient également rendus.
Description
La localisation de
l’Hyperborée est inconnue. Selon les grecs, elle faisait partie de ces
régions du monde sortant du commun, car difficilement accessible ne
serait-ce que parce qu’elle se situait aux confins du monde. Certains
récits disent qu’elle était si loin qu’elle était le lieu terrestre où
l’on voyait la lune de plus près. Cependant, Borée étant un vent du
Nord, on peut supposer que la contrée se situe dans les régions froides
du monde. Le paradoxe est qu’elle est décrite comme une terre
paradisiaque qui ne connaît pas le mauvais temps. Mais cela peut être
mis sur le compte de la méconnaissance du Nord à cette époque.
Les habitants, tous végétariens, y vivaient heureux. Ils ne connaissaient pas les maladies et ne craignaient pas la mort, vivant plus longtemps qu’ailleurs. Ils passaient leurs journées à chanter et danser dans les champs ou les bois sacrés peuplés de nymphes.
https://www.dol-celeb.com/lieux/hyperboree/
Pour Wikipedia
Les Hyperboréens (en grec ancien Ὑπερβόρεοι / Hyperbóreoi) sont un peuple mythique de l'Antiquité. Au sens étymologique, ce sont ceux qui vivent « par-delà les souffles du froid Borée[1] » (le vent du nord).
Les premières mentions des Hyperboréens se trouvent au VIIIe siècle av. J.-C. dans Les Épigones et chez Hésiode (fr. 150.21 [édition ?])[2]. Alcée[3] mentionne les cygnes sacrés qui transportèrent Apollon, après sa naissance, de Délos jusqu’au pays des Hyperboréens, et qui, au bout d’un an, le ramenèrent à Delphes. Les Grecs ont associé Hyperboréens et Borée[4]. Mais il serait vain de vouloir localiser le pays des Hyperboréens, qui représentait pour les Grecs une sorte de paradis lointain et mal défini, le séjour des Bienheureux.
Le continent hyperboréen sur une carte de Gérard Mercator datant de 1595.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir et lire ce qui y est écrit)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hyperbor%C3%A9ens
Les Hyperboréens dans la Doctrine secrète de H.P Blavatsky (toujours Wikipedia)
Helena Blavatsky, fondatrice de la Société théosophique en 1875, a tracé en 1888 une histoire occulte de l'Humanité, qui n'a rien à voir avec l'évolution tracée par l'archéologie. Elle décrit dans la Doctrine secrète[12] l'évolution de sept races-racines sur différentes parties du globe. La deuxième serait les Hyperboréens :
« I. On propose donc de donner au premier continent, ou plutôt à la première terre ferme sur laquelle la Première Race fut évoluée par les divins Progéniteurs, le nom de : Terre Sacrée Impérissable. C'est le berceau du premier homme. (…)
II. Le continent Hyperborée. Tel sera le nom choisi pour le second Continent, la terre qui étendait ses promontoires au sud et à l'ouest du Pôle Nord, pour recevoir la Seconde Race qui englobait tout ce qu'on appelle aujourd'hui l'Asie du Nord. C'est le nom que les plus anciens Grecs donnaient à cette région lointaine et mystérieuse, où, suivant leur tradition, Apollon l'Hyperboréen se rendait tous les ans. Astronomiquement, Apollon est, cela va sans dire, le Soleil qui, abandonnant ses sanctuaires Hellènes, se plaisait à visiter annuellement son lointain pays, où l'on dit que le soleil ne se couche jamais pendant la moitié de l'année. (…)
C'était un continent réel, une terre bona fide [de bonne foi, honnête], qui ne connaissait pas l'hiver à cette époque primitive (…). Le point capital pour nous ne réside pas dans l'accord ou le désaccord des Naturalistes au sujet de la durée des périodes géologiques, mais dans le fait qu'ils sont, par extraordinaire, en parfait accord sur un point qui est de très grande importance. Ils déclarent tous que, durant le Miocène – que ce soit il y a un million ou dix millions d'années – le Groenland et même le Spitzberg, c'est-à-dire ce qui reste de notre second continent ou continent Hyperboréen, "jouissait d'un climat presque tropical". Or, les Grecs pré-Homériques avaient conservé la tradition très vivace de cette "Terre du Soleil Eternel", où leur Apollon se rendait annuellement. (…)
Théosophie: complements par Arthur E Powell "Le systeme Solaire)
CHAPITRE XXXII
—
LA TERRE : LA DEUXIÈME RACE-RACINE
Durant les âges dont la longueur ne nous est pas connue pendant
lesquels exista la première Race, la terre s'apaisa en des conditions de
tranquillité plus grande. Les cataclysmes n'eurent plus un caractère
général, mais seulement local. Une plus grande étendue de terres émergea
au-dessus de la surface du désert des eaux, partant des promontoires du
premier continent, s'étendant en la forme d'un vaste fer à cheval, le
deuxième continent, appelé hyperboréen, ou Plaksha.
Il occupa la région appelée aujourd'hui l'Asie septentrionale et unit le
Groenland au Kamtchatka. Il était limité au sud par la vaste mer qui roulait
ses flots là où le désert de Gobi allonge maintenant ses vastes étendues de
sable. Le Spitzberg en faisait partie, ainsi que la Suède et la Norvège, et il
se prolongeait vers le sud-ouest, englobant les Iles britanniques. La baie de
Baffin était alors de la terre ferme, y compris les iles qui y existent de nos
jours.
Le climat était tropical, et une végétation d'une richesse luxuriante
recouvrait les plaines ensoleillées. Il ne faut pas associer au nom
"Hyperboréen" les idées qu'il comporte aujourd'hui, car c'était un pays
rempli d'allégresse et d'une exubérante vitalité. Le nom "Hyperboréen" ne
s'associa que plus tard à des idées de tristesse, quand cette terre fut privée
de ses habitants à la suite d'un changement de climat et morcelée par de
nombreux cataclysmes.
Quelques-unes des terres les plus anciennes de notre globe sont des
restes de ce continent hyperboréen. Ce sont le Groenland, l'Islande, le
Spitzberg, les parties les plus [229] septentrionales de la Norvège et de la
Suède, et le cap le plus septentrional de la Sibérie.
Chez Rudolf Steiner (d'après l'IA Perplexity)
Origine et signification
Rudolf Steiner, fondateur de l’anthroposophie, reprend la notion d’Hyperborée dans le cadre de son interprétation ésotérique de l’histoire de l’humanité. Hyperborée, dans ce contexte, ne désigne pas seulement un lieu mythique au nord, mais une étape primordiale de l’évolution humaine, antérieure à l’Atlantide et à la Lémurie6.
La "race hyperboréenne"
Selon Steiner, les Hyperboréens représentent la deuxième grande "race-racine" de l’humanité, après la race polaire et avant la Lémurie et l’Atlantide. Cette humanité hyperboréenne aurait vécu dans des conditions très différentes de celles que nous connaissons aujourd’hui, dans un environnement quasi paradisiaque, au climat tempéré voire chaud, situé symboliquement ou ésotériquement "au-dessus du pôle nord"62.
Caractéristiques spirituelles et physiques
Les Hyperboréens, selon Steiner, étaient fortement influencés par les forces cosmiques et l’éther, vivant dans une sorte d’innocence originelle, sans conscience aiguë de l’ego ni des forces vitales liées au sang et à la reproduction2.
Leur développement était davantage centré sur la tête et la sphère spirituelle, ce qui les rendait plus réceptifs aux influences du cosmos et moins attachés à la matérialité que les civilisations ultérieures, comme les Atlantes2.
Cette époque correspondrait à un état "prélapsaire", avant la chute dans la matérialité et la séparation individuelle propre à l’humanité actuelle.
Localisation et climat
Steiner situe symboliquement Hyperborée dans les régions septentrionales, autour de la mer de Barents, la Sibérie et la Finlande, mais il s’agit moins d’une localisation géographique précise que d’un archétype spirituel et évolutif2.
Le climat y aurait été doux, avec des jours et des nuits de six mois, et une terre d’une fertilité exceptionnelle, reflétant l’état paradisiaque de cette époque2.
Rôle dans l’évolution humaine
Pour Steiner, la période hyperboréenne marque un stade où l’humanité n’était pas encore "durcie" par la matérialité, ce qui lui permettait une relation plus directe avec les mondes spirituels3.
Cette étape est essentielle dans sa vision cyclique de l’histoire humaine, chaque "race-racine" incarnant un degré de conscience et de rapport au monde différent.
Résumé
Hyperborée, selon Steiner, est donc à la fois un mythe fondateur et une réalité spirituelle, symbolisant une humanité originelle, harmonieuse, réceptive aux forces cosmiques, située dans un "nord" archétypal, avant la chute dans la densité matérielle et la séparation individuelle qui caractérisent notre époque26.
« Les Hyperboréens étaient un peuple tranquille qui, en tant que race, vivait et était influencé par les effets de l’éther et les conditions du sol. Ils n’étaient pas encore conscients du sang et des forces vitales en ébullition dans le métabolisme et les organes reproducteurs. »
https://www.perplexity.ai/search/hyperboree-selon-steiner-M_CnhXDzR.KMHi0sPLGe8g
Avec un essai de datation par Pierre Lassalle (dates approximatives que Steiner ne donne pas) dans ces 2 articles que j'ai repris ici
19 février 2024
L'évolution Humaine et Planétaire selon Rudolf Steiner: (4)
18 février 2024
L'Époque hyperboréenne (de 13 à 8.5 M.A.) (le "Big Bang" se situe à 13,8 M.A, la formation de la Terre à 4,2 M.A)
On situera le début de cette époque il y a 13 milliards d'années. Elle correspond à la récapitulation de "l'ancien soleil ".
Pendant cette époque, les Élohim s'intériorisent, se mettent en
méditation et imaginent une évolution du globe de chaleur-air ou
Terre-Soleil. Ils forment deux pensées distinctes en eux. Et c'est à ce
travail méditatif que fait référence la première phrase de la Bible "Au commencement, les dieux créèrent le ciel et la terre".
Petit à petit, le globe Terre-Soleil se sépare: la Terre commence à
s'extraire du Soleil. Vous pouvez imaginer la Terre sortie du Soleil,
mais en y restant encore attachée.
En renforçant leur méditation
et en précisant leurs pensées créatrices, les Élohim amènent le globe
primitif à se scinder en deux: d'un côté la Terre originelle et de
l'autre, le Soleil. C'est le départ du Soleil.
https://michel1955.blogspot.com/2025/05/levolution-humaine-et-planetaire-selon.html
La Lémurie
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La Lémurie ou Lemuria est un continent hypothétique (hypothèse scientifiquement infirmée) situé dans l'océan Indien, parfois confondu avec le continent Mu situé dans le Pacifique.
Hypothèse
[modifier | modifier le code]Au XIXe siècle, à une époque où la dérive des continents n'était pas encore connue des géologues, le zoologiste Philip Lutley Sclater cherche à expliquer la distribution de certains mammifères, dont les lémuriens, dans des zones géographiques éloignées. Il forge alors le mot « Lémurie » pour désigner un continent hypothétique situé dans l'océan indien, qui aurait autrefois été un « pont » par delà l'océan Indien.
Alfred Russel Wallace n'accepte pas l'idée de Philip Lutley Sclater, et la combat même car il établit que l'hypothèse d'un tel continent n'a pas de raison d'être, si l'on se base sur de prétendues raisons zoologiques. Il admet cependant qu'un voisinage plus immédiat entre les Indes et l'Australie a dû certainement exister et cela à une époque si lointaine qu'elle était « certainement pré-tertiaire » et « qu'aucun nom n'a été donné à ce supposé continent »[1].
Le naturaliste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) popularise cette hypothèse en 1870 : il induit de la présence de lémuriens à Madagascar et en Malaisie l'existence d'une Lémurie dans l'océan Indien. Le scientifique français Jules Hermann reprend également cette idée dans Les Révélations du Grand Océan, publié à titre posthume en 1927.
Dans la Doctrine secrète de HP Blavatsky (toujours Wikipedia)
Se basant sur les hypothèses émises par les chercheurs de son époque, Helena Blavatsky, fondatrice de la Société théosophique en 1875, reprend le thème d'un continent présent dans l'actuel océan indien, aujourd'hui disparu dans Isis dévoilée (1877). Elle n'en parle alors que très sommairement (le mot « Lémurie » n'y est cité qu'une seule fois). Le théosophe Alfred Percy Sinnett en traite ensuite dans son livre Le Bouddhisme ésotérique (1883)[2]. En 1888, Helena Blavatsky expose dans La Doctrine secrète l'évolution de sept races-racines sur différentes parties du globe. Elle y décrit largement la Lémurie (le mot y est cité près de cent fois) qui est supposée être le continent sur lequel s'est développée la troisième « humanité »[1] :
CHAPITRE XXXIII
—
LA TERRE : LA TROISIÈME RACE-RACINE
(LA RACE LÉMURIENNE)
Pendant la troisième Race, la Race lémurienne, connue dans la
littérature indoue sous le nom de Dânavas, ce processus de récapitulation
des trois premières rondes fut renouvelé : tout ce qui s'était produit au
milieu de la troisième ronde se répéta dans cette troisième Race. Cela
impliquait la matérialisation des hommes jusque sur le plan physique et
leur séparation en sexes différents. Mais avant d'étudier ce processus en
détail, nous allons d'abord considérer les conditions physiques de la terre
elle-même.
La terre avait changé lentement. "La grande Mère était en travail sous
les vagues... Elle travailla encore plus pour la Troisième (Race) et sa taille
et son nombril apparurent au-dessus de l'eau. Ce fut la Ceinture, le
Himâvat sacré, qui s'étend autour du Monde". (La Doctrine Secrète, III)
La mer se trouvant au sud de Plaksha recouvrait le désert de Gobi, le
Thibet et la Mongolie. Et dans sa partie la plus méridionale, la chaine des
Himâlayas émergeait des flots. Lentement la terre apparaissait, depuis le
pied des Himâlayas jusqu'à Ceylan, Sumatra, l'Australie, la Tasmanie et
l'ile de Pâques ; vers l'Occident jusqu'à Madagascar et une partie de
l'Afrique ; étaient inclus également la Norvège, la Suède, la Sibérie
orientale et occidentale et le Kamtchatka. Ce vaste continent était la
Lémurie, le berceau de la Race dans laquelle l'intelligence humaine allait
faire son apparition. Son nom antique est Shâlmali. [234]
Le continent équatorial de la Lémurie au moment de sa plus grande
expansion encerclait presque le globe, puisqu'il s'étendait depuis le site des
iles actuelles du Cap Vert, à quelques lieues de la côte de Sierra-Leone, en
traversant dans une direction sud-est l'Afrique, l'Australie, les iles de la
Société et toutes les mers intermédiaires, jusqu'à un point distant de
quelques lieues à peine d'une grande ile formant continent – de la grandeur
approximative de notre Amérique du Sud – qui s'étendait sur le reste de
l'Océan Pacifique et incluait le Cap Horn et certaines parties de la Patagonie. Au cours des âges, ce vaste continent subit bien des morcèlements et se fragmenta en plusieurs grandes iles. La Norvège s'enfonce et disparait. Sept cent mille ans avant le commencement de l'Éocène du Tertiaire, il se produisit une grande éruption de feu volcanique, des crevasses s'ouvrirent dans le lit de l'océan, et la Lémurie disparut en tant que continent, ne laissant derrière elle que des fragments comme l'Australie et Madagascar, tandis que l'ile de Pâques fut d'abord submergée et ensuite soulevée de nouveau. La destruction de la Lémurie fut produite surtout par le feu, par
l'action des volcans. Elle fut saccagée par les cendres brulantes et la
poussière ignée d'innombrables volcans, ceux-ci, de même qu'une grande
quantité de lacs et de marais, étant caractéristiques de la surface de la terre.
Les Lémuriens subirent donc leur destin principalement par le feu et par la
suffocation, au contraire de la Race suivante, celle des Atlantes, qui
périrent surtout noyés.
Rudolf Steiner, fondateur de l’anthroposophie, reprend et développe la notion de Lémurie, un continent hypothétique déjà évoqué au XIXe siècle par des naturalistes et théosophes comme Helena Blavatsky21. Pour Steiner, la Lémurie n’est pas seulement une hypothèse géologique, mais une étape fondamentale de l’évolution spirituelle et physique de l’humanité, intégrée dans une vaste chronologie ésotérique où la Terre connaît plusieurs incarnations et civilisations successives51.
Steiner situe la Lémurie entre l’Afrique, l’Asie et l’Australie, la décrivant comme un continent englouti qui aurait existé il y a environ 2,5 milliards d’années1. Cette datation est très différente des hypothèses scientifiques ou même théosophiques, qui placent la Lémurie à des périodes beaucoup plus récentes2.
L’atmosphère de la Lémurie était, selon Steiner, très dense et chaude, l’eau y étant plus "fine" qu’aujourd’hui, et la lumière ayant des qualités différentes, plus astrales qu’actuelles13.
Les formes de vie humaine étaient alors très rudimentaires, proches de l’animal, mi-oiseau, mi-poisson, capables de planer ou de nager dans une substance terrestre semi-liquide et semi-gazeuse13.
Les Lémuriens respiraient non pas par des poumons, mais par des organes proches des branchies, et se déplaçaient grâce à une sorte de vessie natatoire, à la manière des poissons actuels3.
Steiner affirme que les Lémuriens n’avaient pas encore de parole articulée ni d’oreilles développées. Leurs organes évoluaient : les branchies se transformaient en oreilles, la vessie natatoire devenait des poumons, et la position du corps passait de l’horizontale à la verticale avec l’incarnation de l’Ego (le "Je")3.
Durant cette époque, les humains se métamorphosaient et passaient par différents états animaux, et c’est de ces "hommes inférieurs" que descendraient les animaux modernes selon Steiner1.
Les Lémuriens, dans la vision de Steiner, étaient des êtres collectifs, peu individualisés, vivant dans une relation très étroite avec les forces cosmiques et les esprits de la nature.
C’est à cette période que commence le processus de réincarnation individuelle, et que les premières formes de karma apparaissent15.
La Lémurie aurait disparu à la suite de cataclysmes, principalement des tremblements de terre et des éruptions volcaniques, préludant à l’apparition de l’Atlantide, autre continent mythique de la tradition ésotérique1.
Pour Steiner, la Lémurie est une étape-clef de l’évolution humaine, marquant le passage d’une humanité semi-animale à une humanité capable d’individualité et de conscience. Cette vision s’inscrit dans une cosmologie spirituelle où l’histoire de la Terre et de l’humanité est scandée par de grandes périodes (Lémurie, Atlantide, époque post-atlantéenne), chacune correspondant à un progrès spirituel et moral de l’âme humaine51.
et selon Pierre Lassalle (qui essaie de dater) : L'Époque lémurienne (de 8.64 M.A. à 65 m.a.)
(reprise de cet article précédent https://michel1955.blogspot.com/2025/05/levolution-humaine-et-planetaire-selon.html )
La première moitié de cette époque lémurienne va récapituler l'état de " l'ancienne lune " de 8,64 à 4,32 milliards environ.
a) Époque lémurienne ou minérale (récapitulation Polaire) = Ère Archéozoïque ou précambrienne: de 4320 à 570 millions d'années.
La Terre se minéralise et devient visible.
Même si on assiste au début du règne minéral, on ne peut pas encore
trouver des roches comme aujourd'hui, car tout est encore en fusion. Le
feu est toujours à la surface de la terre et l'atmosphère se veut
toujours un air de feu. Un long processus se met en route.
Je vous rappelle que l'être humain s'avère déjà présent dans cette évolution. Il reste même là depuis le début. Le germe du futur être humain a été créé sur "l'ancien saturne ", alors que celui de l'animal l'a été sur " l'ancien soleil " et celui de la plante seulement sur " l'ancienne lune ". Enfin, le minéral n'apparaît que sur la Terre.
La Terre s'est formée il y a environ 4,6 milliards d'années à partir d'un nuage de gaz et de poussières dans la nébuleuse solaire, selon les données de la science actuelle.
b) Epoque lémurienne ou végétale (récapitulation hyperboréenne) = Ère Paléozoïque ou primaire: de 570 à 230 millions d'années.
La minéralisation se poursuit. Les végétaux s'élancent à la conquête de la Terre
On entre alors dans une période de densification accélérée. A cette époque, il n’y a qu’un seul continent nommé généralement PANGAÏA,(ou Pangée) mais il s’avérerait faux de se représenter ce continent comme une terre solide comme aujourd'hui. La Terre, bien que se solidifiant rapidement sous l'action de la Lune intérieure, ne disposait pas encore de roche dure ni de sol rigide. Le sol de cet unique continent était comme végétal ou boueux et le feu était encore en surface. Il y avait comme une vapeur de feu au-dessus du sol non encore solidifié. Rappelez-vous que la Terre contenait encore la future Lune. Or, celle-ci représente l'aspect formateur... mais passons à l'époque suivante.
c) Époque lémurienne ou animale = Mésozoïque ou secondaire, de 230 à 65 millions d'années.
Alors, on assiste au départ de la Lune. Il se produit à la fin du Trias, il y a 200 millions d'années.
la " Chute " vers la fin de l'ère Jurassique, soit 140 à 150 millions d'années. La séparation des sexes est commencée...
Question à l'IA: À quelle époque dans la science officielle, la lune a t'elle quitté la Terre ? (Chez Steiner la lune s'est séparée de la Terre à l'époque de la Lemurie)
Dans le cadre de la science officielle, la formation de la Lune s'est produite il y a environ 4,51 milliards d'années, soit 30 à 60 millions d'années après la formation du Système solaire et peu de temps après celle de la Terre127. Le scénario le plus largement accepté est celui de l'hypothèse de l'impact géant : un corps de la taille de Mars, appelé Théia, serait entré en collision avec la jeune Terre, projetant une grande quantité de débris en orbite. Ces débris se seraient ensuite agglomérés pour former la Lune. Ce processus se serait déroulé en un laps de temps relativement court, de l'ordre de quelques années à quelques siècles après l'impact27.
: collision géante entre la proto-Terre et une protoplanète (Théia), suivie de l'accrétion des débris en orbite pour former la Lune27.
Dans l'anthroposophie de Rudolf Steiner, la séparation de la Lune et de la Terre est située à l'époque dite de la Lémurie36. Cette période mythique, qui n'a pas de correspondance dans la chronologie scientifique, serait antérieure à l'Atlantide et marquerait une étape spirituelle et évolutive de l'humanité. Selon Steiner, la Lune aurait été "extraite" de la Terre par des entités spirituelles afin de permettre l'évolution de l'humanité, événement qui aurait eu lieu pendant la troisième "race-racine", soit la période lémurienne346.
Selon la science officielle de quelle époque date l'ancien continent Pangée ou Pangea ? que Pierre Lassalle cite dans un de ses écrits ou conferences sur Steiner
Selon la science officielle, le supercontinent appelé Pangée (ou Pangea) a existé durant la fin du Paléozoïque et le début du Mésozoïque, soit il y a environ 335 millions d’années (formation) jusqu’à sa fragmentation il y a environ 175 millions d’années. Pangée rassemblait la quasi-totalité des terres émergées de la planète avant de se disloquer progressivement pour former les continents actuels. Cette datation est fondée sur la géologie, la paléontologie et la tectonique des plaques, et fait consensus dans la communauté scientifique.
Ainsi, la Pangée citée parfois par Pierre Lassalle ou dans des contextes anthroposophiques correspond, selon la science, à une période comprise entre environ 335 et 175 millions d’années avant notre ère.
Article à suivre l'Atlantide
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