Ukraine : Pourquoi la paix en Ukraine ne se fera pas comme prévu ? Analyse diachronique complète. Publié le 03.12.2025
Alors que le conflit en Ukraine entre dans sa quatrième année, la
question de la paix est sur toutes les lèvres. Pourtant, elle semble
plus insaisissable que jamais. Pour comprendre ce blocage, il ne faut
pas se contenter de la surface médiatique, mais plonger dans les
profondeurs d'une histoire réécrite, d'une corruption systémique et d'un
jeu de pouvoir où certains acteurs, notamment Emmanuel Macron et ses
alliés européistes, ont tout intérêt à ce que la guerre perdure. Cette
analyse diachronique propose de déconstruire le récit officiel pour
révéler les véritables raisons qui empêchent le retour à la paix. Partie 1 : La Genèse falsifiée du conflit et la trahison des accords de Minsk :
Le point de départ officiel, le 24 février 2022, est une supercherie
sémantique et historique. Comme le rappelait Luc Ferry sur LCI, « la
guerre commence en 2014, c’est un mensonge de dire 2022 ». L'histoire
factuelle, bien que bafouée par la bien-pensance mondialiste, débute en
2008 et avec le coup d'État d'Euromaïdan en 2014, piloté de longue date.
Avec quatorze années de bombardements sur les populations pro-russes du
Donbass, un massacre silencieux ignoré volontairement par l'Occident,
et ce n'est pas être prorusse ou quoi, ces faits sont réel et factuel. https://videopress.com/v/btqyLjgn
Le 24 février 2022 ne marque pas une "déclaration de guerre", mais le
lancement d'une "opération spéciale". Le terme, choisi par un Vladimir
Poutine, juriste de formation, est crucial pour comprendre la suite : il
ne s'agissait pas de raser l'Ukraine, ce qui aurait été fait depuis
longtemps en cas de guerre totale, mais de mener des frappes ciblées.
L'objectif était triple : neutraliser les dirigeants "nazis" ukrainiens,
viser les intérêts américains de l'administration Biden et contrer
l'expansion de l'OTAN, tout en protégeant les civils ukrainiens,
considérés comme un peuple frère, et ceci est la vérité. Avant-gout : La trahison orchestrée des accords de paix
Les accords de Minsk II, signés en 2015 par Angela Merkel, François
Hollande, Petro Porochenko et Vladimir Poutine, représentaient une voie
vers la paix. Or, cette voie a été délibérément sabotée. Angela Merkel
l'a avoué sans fard en 2022 : ces accords n'étaient qu'une ruse pour «
donner du temps à l’Ukraine de s’armer ». Volodymyr Zelensky a confirmé
cette duplicité, déclarant n'avoir jamais eu l'intention de les
appliquer. France : Après Angela Merkel, révélations de François Hollande sur les accords de Minsk, qui sont une duperie de l’Occident. « Vous avez tous trahi Minsk, vous avez tous trahi la paix, vous nous traînez tous vers la tombe. » Prologue : le grand théâtre des illusions perdues
On nous avait vendu la « fin de l’Histoire », le triomphe éternel de la
démocratie libérale, l’Europe puissance, l’OTAN bouclier invincible et,
cerise sur le gâteau moisi, un ancien comique en treillis vert comme
dernier rempart de la liberté. Dix-sept ans plus tard, le rideau tombe
sur une farce tragique où tout le monde joue son rôle à la perfection :
les traîtres trahissent, les corrompus détournent, les va-t-en-guerre
hurlent à la paix pendant qu’ils remplissent les cercueils, et le
peuple, comme toujours, paye l’addition. https://videopress.com/v/lCjeUz68 https://videopress.com/v/izPhtElW
Petit retour en arrière, point par point, pour ceux qui auraient encore
la naïveté de croire que tout a commencé « le 24 février 2022 ».
Acte 1 - 2008-2013 : On pose les décors sans le dire
2008, sommet OTAN de Bucarest. Sarkozy et Merkel, sous pression
américaine, promettent à la Géorgie et à l’Ukraine qu’elles finiront un
jour dans l’Alliance. Poutine prévient : c’est une ligne rouge. On rit.
On traite le président russe de paranoïaque attardé. 2010-2013 :
L’UE propose à Ianoukovitch un accord d’association. On oublie gentiment
de préciser que cet accord interdit tout partenariat approfondi avec la
Russie (clause d’exclusivité). Ianoukovitch, pas complètement idiot,
demande du temps. On le traitera bientôt de « dictateur pro-russe ». Acte 2 - 2014 : Le coup de force qu’on baptisera « révolution de la dignité »
Novembre 2013-février 2014 : Euromaïdan. Des manifestations pacifiques,
certes. Puis des snipers tirent sur la foule et sur la police (enquête
jamais vraiment menée). Des groupes ouvertement néo-nazis (Pravy Sektor,
Azov) prennent le contrôle de la rue. Ianoukovitch fuit. Un
gouvernement « démocratique » est installé. Mars 2014 : référendum
en Crimée (84 % de participation, 96 % pour le rattachement – on pourra
toujours contester le scrutin, mais pas le sentiment). Avril 2014 :
début de la guerre du Donbass. Les nouvelles autorités de Kiev lancent
l’« opération antiterroriste » contre les « séparatistes ». En réalité :
bombardements sur des villes russophones. 14 000 morts en huit ans. On
parlera très peu de ces morts-là dans les dîners parisiens.
Acte 3 – 2015 : Les accords de Minsk, ou comment signer un papier pour mieux le déchirer
Minsk I (septembre 2014) puis Minsk II (février 2015). Merkel,
Hollande, Porochenko et Poutine signent. L’Ukraine doit accorder un
statut spécial au Donbass, organiser des élections locales, retirer les
armes lourdes, amnistier. 2019 : Merkel avouera tranquillement au
Zeit que « c’était juste pour donner du temps à l’Ukraine de se
renforcer militairement ». 2022 : Porochenko puis Zelensky confirmeront qu’ils n’ont jamais eu l’intention d’appliquer ces accords. François Hollande, lui, jouera les offusqués quand on lui rappellera qu’il a cautionné la mascarade. Bref : on a menti par écrit, avec paraphe et photo de famille. C’est ça, la « communauté internationale ». Acte 4 - 2022 : L’« opération militaire spéciale » que tout le monde attendait… sauf les experts de plateau 24 février 2022. La Russie intervient. On crie à l’« agression non provoquée ».
Sauf que tout était provoqué : huit ans de bombardements sur le
Donbass, refus des accords de Minsk, entrée rampante de l’OTAN
(instructeurs, armes, bases), déclarations de Zelensky sur le retour de
l’arme nucléaire ukrainienne en 2021, etc. Mais bon, les faits sont secondaires quand on a une bonne narrative. 2022-2025 : La guerre d’usure, ou comment transformer un pays en cimetière pour sauver la carrière de quelques-uns 2022 : l’Occident promet la victoire « avant l’été ». 2023 : contre-offensive ukrainienne 100 000 morts pour reprendre 0,3 % du territoire. Bravo. 2024 : prise de Bakhmout, Avdiïvka, incursion symbolique à Koursk. La Russie avance à 50 mètres par jour, mais elle avance.
2025 : ligne de front gelée, Ukraine exsangue, 500 000 à 700 000 morts
côté ukrainien (chiffres officieux), économie détruite, jeunesse partie
ou enterrée. Et pendant ce temps, à Bruxelles et à Paris, on
continue d’envoyer des milliards. Où vont-ils exactement ? Mystère. Mais
curieusement, des villas à Miami et des comptes aux îles Caïmans se
remplissent.
Emmanuel Macron, héritier de cette lignée de traîtres, a repris le
flambeau. En refusant obstinément la paix, en déversant des milliards et
en autorisant l'envoi de mercenaires privés (décret 2025-1030), il
perpétue une guerre déjà perdue, trahissant la volonté du peuple
français qui réclame la paix. Partie 2 : Le ballet diplomatique de 2025 – Le plan de paix Trump face au mur européiste
Avec son retour à la Maison-Blanche, Donald Trump s'est engagé dans un
processus de paix globale. Si des progrès ont été observés sur d'autres
fronts, le dossier ukrainien s'est heurté à un mur. Ce mur a un nom :
Volodymyr Zelensky, marionnette narcissique et corrompue, poussée par
ses maîtres à penser que sont Macron, von der Leyen et leurs acolytes.
L'échec calculé des négociations :
La tentative de médiation d'hier de Trump a tourné à la farce. Ses
émissaires, Witkoff riche homme d'affaires dans l'immobilier, et Jared
Kushner le gendre de Trump, tous deux pro-sioniste et non envoyé spécial
non officiel de la Maison-Blanche, ont été humiliés par une attente de
trois heures au Kremlin, suivie de cinq heures de discussions stériles.
La Russie maintient ses exigences, l'Ukraine ses lignes rouges. Pourquoi
?
Le point de vue de Poutine : une exigence de légitimité. D'un
côté, un chef d'État au pouvoir depuis plus de vingt ans, à la tête
d'une puissance technologique et militaire. De l'autre, Zelensky un
ancien acteur, champion de la corruption révélée par les Pandora Papers,
dont le mandat présidentiel a expiré. Poutine, en juriste, refuse de
signer un accord avec un dirigeant illégitime. Une telle signature
serait caduque et pourrait être révoquée par un futur président
ukrainien élu. Poutine, juriste jusqu’au bout des ongles, refuse de
signer quoi que ce soit avec un président dont le mandat est
techniquement expiré depuis mai 2024 et qui annule les élections « à
cause de la guerre ». Il exige donc des élections pour garantir un
accord solvable, durable et surtout sûr et officiel, mais cela, ils
oublient de vous le dire : signeriez-vous un contrat avec quelqu'un qui
n'existe pas officiellement ? Logique : dans cinq ans, un nouveau
président pourrait tout annuler. Et, ce n'est qu'un point de départ !
Le sabotage de Zelensky. Poussé par ses alliés européens, Zelensky a
fait échouer chaque tentative, faisant passer Trump pour un naïf. Ce
dernier, initialement trop confiant, a commencé à comprendre le jeu des
mondialistes en dénonçant la corruption endémique du régime de Kiev,
provoquant la fuite du bras droit de Zelensky, dans un premier temps,
histoire de tester jusqu'où ils sont capables d'aller.
Le sénateur
Marco Rubio, diplomate de l'ancienne école, a compris le cinéma
ukraino-européen avant Trump et a refusé de se rendre à Moscou. Trump,
lui, apprend de ses erreurs. Il a compris que la négociation immobilière
ne s'applique pas ici et qu'en mettant Macron, en grand absent de la
table des négociations, il est bel et bien au cœur du problème ! Savoir
décortiquer les stratagèmes de Trump est un art, mettre les acteurs
réels en avant est son art. En faisant ainsi, il met en avant les
premiers responsables du jeu de dupe. Partie 3 : La corruption, véritable moteur de la guerre
Si la paix tarde, ce n'est pas pour des raisons géopolitiques nobles,
mais à cause d'un réseau de corruption globaliste qui a tout à perdre.
Macron, Zelensky et Ursula von der Leyen sont noyés jusqu'au cou dans ce
système.
Les récentes inculpations pour fraude et corruption de
figures clés de l'UE, comme Federica Mogherini (ex-cheffe de la
diplomatie européenne) et Stefano Sannino, ne sont que la partie émergée
de l'iceberg. En touchant à Mogherini, l'enquête remonte jusqu'à la
Slovénie, plaque tournante du détournement d'argent européen, qui finit
dans la grande "blanchisseuse" ukrainienne. Ce système serait orchestré
par Ursula von der Leyen et son bras droit, l'Estonienne Kaja Kallas,
elle-même issue d'une famille d'apparatchiks du régime soviétique.
Kaja Kallas est issue d'une famille d'apparatchik du régime soviétique
avec un père dignitaire du parti communiste slovène qui a retourné sa
veste. De 1936 à 1945, l’Estonie était un soutien 100% du parti nazi de
Hitler !!! Ça fait tache, et si on creuse, on découvre que l'origine de
la haine anti-russes dans ces pays, c'est parce qu'ils ont chassé et
écrasé les nazis… Chut ! Ils avaient arrêté de célébrer les nazis, car
on leur a dit que cela ferait une autre tâche pour rentrer dans l'UE,
certaines ont été rétablies. Tous, filles ou petit/es d'ex-nazis, de K Schwab, Von der Leyen and Co...
WEF : Un homme en 1941 avait écrit la clé de compréhension pour capter
la véritable nature de 3 doctrines, “le Communisme, la Franc-Maçonnerie
et le Nazisme”, qui allait devenir le WEF.
Macron, en obligeant
Zelensky à refuser la paix, cherche à protéger ce réseau criminel et à
se maintenir au pouvoir. Il veut rester "chef de guerre", car sans ce
rôle, il n'existe plus. Les Français découvriront bientôt qu'une partie
des 21 milliards qu'ils ont versés à l'Ukraine a été détournée, avec
Macron comme bénéficiaire final certainement. Quant aux États-Unis, et
pour l'administration Trump plus de 113 milliards de dollars ont été
volés ! Trump exige la publication du rapport classifié sur le
financement de l'Ukraine. Ses détracteurs préviennent que cela pourrait
entraîner la chute des deux partis et envoyer de nombreux élus en
prison. Suivez l'argent, vous trouverez les corrompus, suivez l'argent,
vous trouverez les bellicistes ! https://videopress.com/v/sQj5OaUI
La réponse cinglante de Poutine à l'UE (décembre 2025) : « Ils
nourrissaient le fantasme d'infliger une défaite stratégique à la
Russie… Ils sont incapables d'admettre leur erreur. Ils se sont
simplement exclus du processus… Au lieu d'être utiles, ils entravent le
travail de l'administration américaine actuelle et du président Trump…
Ils n'ont aucun plan de paix. Ils soutiennent ouvertement la guerre…
Chaque modification [qu'ils proposent] vise à saboter le processus de
paix… Alors, s'ils veulent redescendre sur terre et se confronter à la
réalité du terrain, ils sont les bienvenus. » https://videopress.com/v/pBFZkxlj
Poutine a également été très clair en accusant Macron d'avoir provoqué
l'escalade et en refusant explicitement la présence de soldats français
dans une future force de maintien de la paix. Macron a fait de la
Russie, notre alliée naturelle, une ennemie, détruisant une alliance
historique et mettant l'économie française à genoux. Partie 4 : La course contre la montre – Trois horloges pour un destin
Le véritable champ de bataille n'est plus seulement en Ukraine, c'est
le temps lui-même. Trois stratégies temporelles s'affrontent :
1.
Le temps de Poutine : l'avancée méthodique. La Russie n'est pas pressée.
Elle a les moyens de raser l'Ukraine mais choisit d'avancer lentement
et sûrement. Chaque jour qui passe sans accord de paix est un territoire
de plus conquis, un territoire qui ne sera jamais restitué. Si Zelensky
avait signé plus tôt, il aurait sauvé une partie de son pays. La
stratégie russe est celle de l'usure et du fait accompli qui réussit à
chaque fois. Pensez à Grosny, Kiev se rapproche doucement.
2. Le
temps de Trump : la dénonciation méthodique. Chaque jour qui passe est
une occasion pour Trump de dénoncer un nouveau pion du réseau corrompu.
Avant-hier Yermak (bras droit de Zelensky), hier Mogherini (bras droit
de Kallas), demain Kallas, puis von der Leyen, Zelensky et Macron. Le
temps joue pour lui en exposant la pourriture du système aux yeux du
monde.
3. Le temps des globalistes : la fuite en avant vers 2030,
leur mantra coûte que coûte. L'équipage européiste corrompu cherche
désespérément à tenir jusqu'en 2030, date butoir de leur plan
machiavélique du "Great Reset". Repousser les échéances de paix est leur
seule stratégie de survie.
Alors me direz-vous, pourquoi ne pas simplement prendre les milliards
volés et disparaître et en finir rapidement pendant qu'il en est encore
temps pour eux ?
France : Passé inaperçu, Macron a encore insulté
les Français en direct : le donneur de leçons qui ferme les yeux sur nos
milliards ukrainiens.
Parce qu'ils croient détenir une "botte
secrète". Ils parient sur la fin du mandat de Trump en 2028. Mais, ils
sous-estiment en "même temps" la détermination de Trump pour 2028 et le
danger qui guette si Poutine venait à quitter le pouvoir "un jour".
Contrairement à la propagande contre lui, Poutine est un modéré. Des
successeurs comme Medvedev seraient bien plus impitoyables envers les
mondialistes européens et ils le savent. Si l'élite corrompue est
toujours en place en 2030 sans Poutine, un carnage de vengeance russe
sur l'Europe deviendrait une possibilité réelle, pour le coup, ils
lorgnent donc sur ces deux dates et ces deux faits majeurs dans leurs
destructions organisées.
Trump les prévient déja lui-même et Poutine aussi : Épilogue : Pourquoi la paix ne viendra pas « comme prévu » ?
Une date : 2027 et Parce qu’il n’y a plus de « comme prévu ». Il y avait un plan A : accords de Minsk appliqués → fédéralisation → paix. On l’a saboté. Plan B : victoire militaire ukrainienne éclair. Raté.
Plan C : guerre jusqu’en 2030 pour que le Great Reset passe en douce
pendant que tout le monde regarde ailleurs. C’est celui auquel on joue
actuellement. Le temps est l’arme absolue : Chaque jour de guerre = un territoire de plus que la Russie ne rendra jamais. Chaque jour de guerre = un scandale de corruption de plus qui fait tomber un pion européen. Chaque jour de guerre = un pas de plus vers l’explosion de l’OTAN et de l’UE telle qu’on la connaît.
Et, au milieu de ce chaos, un homme en costume trop grand rêve de
rester président à vie en provoquant l’Apocalypse. Il a la bombe
nucléaire à portée de clic et la folie chevillée au corps.
Alors non, la paix ne viendra pas comme prévu.
Elle viendra quand le dernier corrompu aura été démasqué, quand le
dernier va-t-en-guerre aura été désarmé, quand le dernier Ukrainien
valide aura compris qu’on l’a sacrifié pour la carrière de Macron et le
compte en banque de Zelensky. Ou alors elle ne viendra jamais, et
on aura juste une grande zone grise entre Pologne et Russie, un
cimetière à ciel ouvert qu’on appellera « victoire de la démocratie ».
Rideau. Applaudissements polis dans les salons parisiens. Silence de mort à Donetsk, Kharkov, Odessa. Et à Kiev, un petit homme en kaki qui joue encore du piano avec sa bite pendant que son pays brûle.
Fin du spectacle ? Non, c’est juste l’entracte. Le prochain acte
s’appellera probablement « Comment Macron a failli nous faire tous
sauter pour sauver son trône ». Places encore disponibles. 5.Conclusion : Le spectacle final et la menace du faux drapeau
Le scénario le plus optimiste nous mène à 2028 : Macron est tombé grâce
à Trump, la France organiserait de nouvelles élections présidentielles,
l'UE a explosé à cause des mondialistes pour laisser place à une Europe
des nations souveraines, l'OTAN est dissoute. La Russie aurait avancé
jusqu'à Kiev, créant un no man's land en guise de tampon. Le commerce
mondial se réorganisera entre les États-Unis, la Russie et la Chine, ce
qu'ils commencent à faire en sous-marin, pendant qu’une Europe
souveraine à la manière de De Gaulle émergerait, avec des frontières
clairement définies. L’Ukraine, elle, aurait payé le tribut aux
mondialistes, ruinée et dépeuplée de sa jeunesse.
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