Militer

** ** Il y a assez sur Terre pour répondre aux besoins de l'Homme, mais pas assez pour satisfaire son avidité ** ** Gandhi
 
j'ai hier 18 janvier, quitté définitivement un boulot qui m'épuisait , pour prendre ma retraite en subissant une grosse décote ....

02 sept 2020 "Bouddhiste et "d’extrême gauche", le suis je encore?  

 

16 mai 2017

Législatives 11-18 juin 2017

Suite à l'élection présidentielle, et à la nomination du 1er ministre , ET pour ne pas encore donner plus d’énergie à ces gens là, 

je m'abstiendrai de les citer et concentrerai tous mes efforts sur le seul programme qui va dans le sens des droits des Êtres Humains et de notre Planète en le soutenant et le faisant connaître.


MON ENGAGEMENT AVEC LA FRANCE INSOUMISE: voir aussi ces articles


 




 

 







 

République et démocratie







avenirencommun.fr

La collection des «Livrets de la France insoumise» - JLM 2017 Les livrets thématiques disponibles
 https://avenirencommun.fr/livrets-thematiques/

Notre but "ici et maintenant" c'est les législatives 

le 3eme tour, législatives 2017,
OUI nous sommes les Insoumis (et j'aime de + en + cette expression qui correspond tout à fait à ce que je suis...) devenus incontournables !

Pouvons nous espérer gagner ces législatives et que Jean Luc soit à défaut de président, 1er ministre et en mesure d'appliquer notre programme?
 et voici la candidate de notre circonscription 


Notre programme est affiché bien fort

Comme celui concernant la santé publique


ou de la protection des travailleurs



 


10 mai 2017

Aganna Sutta: les origines de la violence et de l'avidité chez l'etre humain

  Un extrait d'un sutra bouddhiste sur "les origines" (causes et conditions multiples) de notre monde actuel, de l'agriculture et de la propriété, ainsi que de la violence et de l'avidité chez les êtres humains  ... 

 

Origine également des êtres humains eux mêmes et peut être aussi de notre univers, tel que nous le percevons ... ?

 

Lecture qui m'a beaucoup marqué ...

Aganna Sutta



Extraits du Livre "Les fondements de la mystique tibétaine* de Lama Anagarika Govinda



Dans l'Agganna Suttanta du Dlyha-Nikâya, le processus de la continuelle limitation de la conscience illimitée et lumineuse est décrit dans un mythe au sens profond qui apparaît nettement comme un précurseur de la doctrine du Vijnânavâda qui, tout comme le passage cité ci-avant (vinnânam anidassanam), montre que les concepts des Vijfiânavâdins ont déjà leurs racines dans le bouddhisme pâli du début et présentent un développement logique de la richesse de pensée qu'il contient et qui n'avait pas encore été nettement défini.

 

« Dans le passé » dit-on dans l'Agyanna-sutta, « nous étions des êtres créés d'esprit, venant de l'esprit ; nous nous nourrissions de ravissement, nous planions, lumineux dans les airs, au milieu d'une impérissable beauté. Pendant bien longtemps nous restâmes ainsi. A la fin de temps infinis sortit de l'eau la terre savoureuse. Elle possédait couleur, parfum et saveur. Nous nous mîmes à la modeler et à en manger. Mais alors que nous en mangions, notre luminosité disparut peu à peu.

Après sa disparition, le soleil et la lune, les étoiles et les constellations, le jour et la nuit, les semaines et les mois, les saisons et les années vinrent à la manifestation. Nous nous réjouissions fort de la terre savoureuse, nous nous en régalions, nous nous en nourrissions, nous en vivions, et cela dura très, très longtemps ». Avec la nourriture devenant plus grossière, commença la matérialisation et la différenciation dans la nature des êtres et, ainsi, la sépara­tion des sexes, les désirs sensuels et l'attachement. « Mais lorsque des mœurs mauvaises et dissolues s'introduisirent parmi nous, la bonne saveur de la terre disparut ; après cette disparition, apparurent sur le sol des excroissances douées de parfum, de couleur et de saveur ». 
 
Par suite d'une aggravation des mauvaises mœurs et de la matérialité de l'être, ces excroissances nutritives s'évanouirent à leur tour, comme aussi les plantes comestibles qui poussaient ; d'elles-mêmes, jusqu'au moment où elles dégénérèrent au point que plus rien de consommable ne poussa et que la nourriture ne s'obtint plus que par un travail pénible. C'est alors que la terre fut découpée en champs et clôturée, d'où naquit l'idée de « moi » et de « mien », de « personnel » et d'« étranger », et ainsi se manifestèrent la propriété, l'envie, la cupidité, l'attachement aux choses matérielles.

Livre découvert à "Institut Vajra Yogini" centre bouddhiste Tibétain de la région Toulousaine  et dont cet extrait m'avait marqué au point de le retranscrire à la main avant de le faire sur cette page en 2016 et puis de nouveau avec quelques modifications dues à ma compréhension,  aujourd’hui !
 
car voulant ensuite en savoir plus,  j'ai pu trouver un lien vers une traduction de ce sutta qui vient du bouddhisme Theravada ...
http://www.memoireonline.com/09/08/1514/m_le-bouddhisme-theravada-la-violence-et-l-etat6.html